dimanche 22 juin 2014

Méthodes pédagogiques : plaidoyer pour l'apprentissage profond


Méthodes pédagogiques : plaidoyer pour l’apprentissage profond

Au milieu des années 1970, quelques chercheurs ont élaboré la théorie de l’apprentissage profond.  Ils soulignaient l’importance pour les étudiants d’exercer leur pensée critique, de créer du lien entre les concepts et de relier les nouvelles notions aux connaissances dont ils disposaient.  Un ensemble de démarches qui correspond bien à ce qui se passe lorsqu’on utilise les cartes mentales, conceptuelles ou argumentaires.

Cela fait maintenant quelques années (doux euphémisme !) que je travaille comme formateur et enseignant.  J’ai pu m’adresser à des publics aussi divers que des adolescents en difficulté – en anglais ou plus généralement en méthodes de travail – qu’à des demandeurs d’emploi en recherche de nouvelles opportunité ou des ingénieurs d’une entreprise pétrochimique multinationale, pour ne citer que quelques cas.

Quelques années aussi que je recherche inlassablement outils et méthodes pédagogiques pour leur offrir le meilleur et surtout pour les aider à réaliser leur potentiel.
Cliquez sur la mindmap Mindomo pour ouvrir la carte mentale interactive dans une autre fenêtre :

Carte mentale mindomo sur les différentes méthodes pédagogiques

Méthodes pédagogiques

Approche profonde versus approche de surface

J’ai trouvé un article de l’Université d’Oxford qui résume très bien les trouvailles de Marton et Säljö.
Pour comprendre les différences entre les deux approches, je les ai synthétisées sous la forme d’une carte conceptuelle que voici.
Cliquez sur la carte conceptuelle pour ouvrir la présentation en ligne :

Carte conceptuelle dessinée avec le logiciel de mindmapping Mindomo et qui illustre les différences entre les approches profonde et de surface décrites par Marton et Sajlo
Carte conceptuelle sur les approches profondes et de surface
Autrement dit, les étudiants qui utilisent l’approche profonde sont nettement plus actifs que ceux qui approchent le cours en surface :
  • ils créent du lien entre les idées
  • ils anticipent les conclusions
  • ils repèrent les structures et les principes organisateurs d’un cours
  • ils intègrent les nouvelles notions aux connaissances déjà acquises
  • ils ne se contentent pas de reproduire des parties du cours en vue de l’examen, mais interagissent activement avec les idées et les connaissances contenues dans le cours pour bâtir leur propre système de connaissance
Formations d'un jour pour étudiants depuis l'enseignement primaire (école) à l'université en passant par l'enseignement secondaire - lycée
Formations pour étudiants
En un mot, ils élaborent leur savoir personnel.

L’apprentissage profond : un choix stratégique

Cela veut-il dire que les étudiants sont "condamnés" à un style d’étude ?  On est soit "apprentissage profond", soit "apprentissage de surface" comme on est blond ou brun de naissance ?
Absolument pas !

a) Un choix stratégique selon les circonstances

Les auteurs insistent sur le fait qu’il s’agit d’un choix de stratégie et que les mêmes étudiants utilisent d’ailleurs l’une ou l’autre approche selon l’intérêt qu’ils éprouvent pour la matière…
Et, sans doute aussi, selon le poids de cette matière dans leur cursus.
Autrement dit, vous pouvez choisir dès maintenant d’être un étudiant en "apprentissage profond".

b) Des approches différentes de la mémorisation

Marton et Säljö distinguent aussi d’autres utilisation de la mémoire dans les approches profondes et de surface.
Alors que les étudiants qui ont choisi l’approche de surface considèrent la mémorisation comme une fin en soi, ceux qui ont opté pour l’approche profonde utilisent la mémorisation des éléments-clés comme moyen de mieux comprendre la matière et de mieux l’intégrer dans leur propre système de connaissances.

Ils extraient du sens de ce processus de mémorisation : ils relient les éléments mémorisés à des choses qu’ils connaissent déjà ou qui peuvent illustrer les structures, les processus, les éléments déterminant d’une matière.

Les étudiants qui choisissent l’approche de surface fonctionnent comme des scanners : ils essaient de mémoriser le plus grand nombre de faits possibles.  Tandis que les étudiants qui privilégient l’approche profonde fonctionne comme des ordinateurs en réseau : ils agrègent des éléments-clés de la connaissance au réseau pré-existant.

c) L’approche "reproduction de contenu" versus l’approche "construction du savoir"

Mais la différence fondamentale entre les deux approches se situe dans l’intention des étudiants.
L’approche "profonde" a pour objectif la "construction du savoir" : une élaboration personnelle du savoir.  Une approche à long terme qui permet d’obtenir les meilleures notes.  Et qui correpond aussi aux exigences des entreprises où l’on demande de plus en plus d’initiative personnelle, de pouvoir s’autoformer, d’intégrer de nouvelles connaissances et compétences en un temps record.

L’approche "de surface" privilégie la reproduction du contenu d’une matière : il n’y a pas d’interaction à proprement parler avec les éléments de connaissance, mais simple tentative de mémoriser le maximum de contenu.

Les étudiants peuvent d’ailleurs passer relativement vite de l’approche profonde à une approche de surface si la matière s’avère trop difficile ou s’ils ont une méthode de travail peu adaptée aux exigences académiques.

Il n’y a donc pas de fatalité mais choix conscient ou subconscient de stratégies en fonction des situations, parfois par les mêmes étudiants sur les mêmes matières.

Pas de "types d’étudiants", mais un système complexe de choix stratégiques

On ne peut donc pas parler de "deux types d’étudiants", mais d’un système complexes de choix stratégiques en réponse à un environnement.
Mais alors, pourquoi un "plaidoyer pour l’apprentissage profond" ?  Parce que j’ai la conviction profonde – elle aussi -  qu’il répond non seulement aux exigences académiques, mais surtout qu’il confère aux étudiants la panoplie de compétences dont ils auront de plus en plus besoin dans un monde où les professions les plus courues dans 10 ans n’existent pas aujourd’hui.

Il y a 5 ans, personne ne parlait de "community managers" : c’est aujourd’hui une des professions les plus demandées.  C’est aussi l’une de celles qui s’apprennent majoritairement sur le tas, en "méthode expérientielle" : learning by doing, apprendre tout en faisant.

C’est l’une des modalités les plus intéressantes de l’apprentissage profond…
Dans un prochain article, j’examinerai quelles sont les relations entre l’approche de l’apprentissage profond et les outils visuels, tels que les cartes mentales, les cartes conceptuelles, les cartes argumentaires et les organisateurs graphiques.

Sources : Cliquer ici

S'initier au sketchnoting par l'annotation créative

S'initier au sketchnoting par l'annotation créative


Ce billet vous aidera a développer progressivement votre capacité à créer des sketchnotes à partir d'un texte. 

L'astuce consiste à placer une étape intermédiaire entre la lecture et le sketchnoting: cette étape s'appelle l'annotation créative.

Le sketchnoting, comme les autres techniques de Visual Mapping, stimule la créativité pour mieux assimiler et mémoriser des l'information.

L'exemple est reálisé à partir d'un texte du Docteur Srini Pillay, publié dans le blog Harvard Business Review: To Reach Your Goals, Make a Mental Movie. Les 4 étapes sont illustrées et expliquée ci-dessous.

1. Préparation à la prise de note créative



La première étape consiste à coller une bande d'environ 10 cm sur la gauche du texte imprimé. Cette bande nous permettra d'annoter créativement le texte que nous sommes en train de lire.


2. Lecture et annotation 




Lecture et annotation du texte, après avoir lu le texte et surligné les points qui ont retenu notre attention, nous pouvons commencer l'annotation créative. 
Sur le même niveau du texte où nous avons surligné, nous ajoutons des images simples, des mots-clés, des bulles de bd, des courtes phrases.

3.Passage au sketchnote



Dans cette étape, il est question de reprendre ses annotations pour créer une sketchnote finale, quitte à reformuler des mots clés, des phrases courtes et des illustrations.

4. Mise en couleur du skecthnote final




Aller plus loin


Vous pouvez approfondir cette lecture, à travers la pratique en participant aux prochains ateliers de Visual Mapping.

samedi 21 juin 2014

Les secrets des bons cours en ligne

Les secrets des bons cours en ligne

Créé le lundi 12 mai 2014  |  Mise à jour le mercredi 11 juin 2014
Les secrets des bons cours en ligne
Combien pour développer un nouveau cours ?

Pour la plupart des institutions, le choix de développer un nouveau cours représente un risque financier. Que ce cours soit populaire s’impose.

Quand la production du cours est subventionnée ou est une affaire de passion bénévole, on ne se soucie guère de sa rentabilité, mais on appréciera quand même la reconnaissance publique. Enfin, ne serait-ce que pour la propre satisfaction de ses concepteurs, un cours populaire ou viral établit une réputation et ouvre des portes.  Alors

Quel est le point commun des cours à succès ?

Jeanine O’Neill-Blackwell a rencontré plusieurs créateurs de cours en ligne qui ont généré des revenus de plus de 100 000 $ et elle-même en a produit qui ont atteint les millions en revenus.  Elle a identifié les caractéristiques communes de tous ces cours à succès.

Les cours à succès :
  • Résolvent un problème très spécifique.

    Il ne s’agit pas de «Aider à améliorer son entreprise en ligne» mais plutôt de «Comment acquérir 10 000 amis sur Facebook».  Et comme l’attention des participants est généralement de courte durée, on stimule fréquemment leur attention (toutes les 10 minutes) en réassociant ce qui est enseigné à leurs problèmes.
     
  • Visent des résultats concrets

    Changer les comportements n’est pas nécessairement facile. Présenter quelque chose n’est pas «former»; c’est par la pratique et la répétition qu’on y arrive.  Aussi, si vous visez 1 à 3 changements de pratiques significatifs, vous obtiendrez du succès. Si vous en visez 10, les efforts des étudiants seront dilués et finalement ils ne mettront rien en pratique.
     
  • Proposent un système (canevas, plan, modèle, séquence…)

    Les gens achètent des résultats, de la vitesse, de la structure, de la synthèse.  Les aider à aller plus rapidement, leur montrer comment faire, leur communiquer ce que vous savez et comment assembler tout ce dont ils ont besoin pour réussir est une clé de la réussite de votre cours.
     
  • Présentent leur contenu sous différentes formes

    Tous n’apprennent pas de la même façon ni toujours de la même façon; les cours à succès présentent leur contenu sous différentes formes entre lesquelles les étudiants peuvent choisir selon leurs besoins du moment.
     
Fondamentalement, il s’agit de fournir une réponse aux questions que votre clientèle se pose pour qu’elle obtienne des résultats concrets.

Ces quatre caractéristiques rejoignent celles qui ont été recueillies auprès de milliers d’étudiants de Moocs et de cours en ligne. À peu près tous s’accordent sur le fait que le succès d’un cours a très peu à voir avec la technologie mais surtout avec le contenu offert et son organisation (son scénario pédagogique).

Si le cours est orienté sur les habiletés et la carrière, qu’il est organisé par objectifs d’apprentissage qu’il offre l’accès à une variété de contenus, qu’il est participatif, auto-dirigé et attrayant par sa présentation, sa navigation et son accessibilité technologique, alors son succès est quasi assuré.

Références

How To Create Courses That Sell Online - Jeanine O’Neill-Blackwell - elearningindustry - Mars 2014
http://elearningindustry.com/how-to-create-courses-that-sell-online

6 keys to a good online course - Meris Stansbury - eCampus News - Avril 2014
http://www.ecampusnews.com/online-learning/good-online-course-591/

Design Pensée pour l'innovation stratégique

Par:   Date affichée 7 Octobre, 2013
la pensée de conceptionDemandez un tas de gens qui s'abonnent à concevoir penser exactement ce que c'est, et vous obtiendrez une multitude de réponses, dont chacune varie juste assez de la dernière à vous donner la réponse que vous cherchez: Il n'y a pas simple, unificateur, définition commune de la pensée de conception. Compte tenu de sa prédilection pour composer avec l'ambiguïté, peut-être il ne devrait pas être.
Pour la plupart des praticiens, l'idée de la conception comme une façon de penser peut être tracée adossés à Herbert Simon et son livre de 1969, «Les sciences de l'artificiel." Un politologue américain, économiste, sociologue, psychologue et professeur à l'Université Carnegie Mellon , sa distinction entre la pensée critique comme un processus analytique de "tomber en panne" idées et un mode de pensée orienté conception comme un processus de «construction» des idées est à la base de la pratique. Donc, aussi, est sa définition du design comme "la transformation des conditions existantes dans les préférés."
De 1973 livre de Robert McKim, "Expériences dans Visual Thinking», la première utilisation remarquable de Peter Rowe du terme "conception de la pensée politique" de 1987 à l'article très influent de Richard Buchanan, «Problèmes Wicked Design Pensée,« grande idée-que le design de Simon est toujours liée à un meilleur avenir - a continué de façonner la pratique dans tous les sens.
Plus récemment, la pensée de conception a pris l'attention des gens d'affaires, grâce à elle de trouver son chemin dans les pages de publications comme Bloomberg Businessweek et Harvard Business Review. Lorsque Simon et ceux qui ont suivi lui ont , une approche scientifique plus considéré les fondements épistémologiques de la pratique, la compréhension de la pensée de conception dans la presse d'affaires est trop simpliste. 
En mettant l'accent sur ​​l'application d'une approche centrée sur l'humain pour identifier les problèmes suivis par un prototypage rapide des idées en objets concrets ou des modèles non fonctionnels pour résoudre ces problèmes, la presse d'affaires tend à faire pour concevoir penser ce qu'il fait pour les plus complexes questions: le transformer en une trousse d'outils facilement accessibles que n'importe qui peut utiliser.
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Typiquement caractérisé comme un processus étape par étape qui est fait sexy avec l'aide de Post-it, des cartes mentales multicolores et autres représentations visuelles trop simplistes des systèmes ou des expériences complexes, la presse économique a romancé conception pensée comme un moyen de résoudre les problèmes et conduire des profits. C'est la définition la plus simple? Le design thinking est un moyen d'obtenir d'affaires à penser comme designers et à penser comme les hommes d'affaires . Mais la pensée de conception est plus que cela.
"Une conception de l'organisation de la pensée est capable de faire avancer efficacement les connaissances de mystère pour heuristique à l'algorithme, acquérir un avantage de coût sur ses concurrents le long du chemin. Et avec cet avantage de coût, il peut rediriger sa capacité de conception de la pensée de résoudre le mystère suivant importante et avance encore en avance sur ses concurrents ".
-Roger Martin

Alors, quel est Design Pensée?

  •  Une façon de relever les défis de conception en appliquant l'empathie?
  • Une approche de la résolution collective de problèmes?
  • Un cadre pour équilibrer les besoins et la faisabilité?
  • Un moyen de résoudre des problèmes complexes ou méchants?
  • Un état d'esprit à la curiosité et de l'enquête?
  • Un processus fixe et une trousse d'outils?
  • Une approche de résolution de problèmes pour gérer les problèmes au niveau des systèmes?
  • Une culture qui favorise l'exploration et l'expérimentation?
  • Un mot à la mode de conception de suggérer que les concepteurs peuvent faire plus que de concevoir juste?
  • Un mot à la mode de gestion vendu comme l'outil stratégique prochaine?
La réponse à tous est, "Oui, et plus" Voici ma définition de la pensée de conception: conception pensée est la recherche d'un équilibre magique entre les entreprises et l'art, la structure et le chaos, l'intuition et la logique, le concept et l'exécution, de l'espièglerie et la formalité , et le contrôle et la responsabilisation.
Dans ma pratique, il s'agit d'un cadre pour une approche centrée sur l'humain à l'innovation stratégique et un nouveau modèle de gestion pour la création de valeur dans un monde de changer radicalement les réseaux et les technologies de rupture. Bien que ce cadre est certes peuplé par processus ou d'outils (qui nous y reviendrons plus tard) précieux, c'est le cadre lui-même qui est l'endroit où l'équilibre magique réside. Le design thinking est sur ​​la flexibilité cognitive, la capacité d'adapter le processus aux défis . Et quand il s'agit d'organisations qui appliquent avec succès la pensée de conception de défis , ce cadre est essentiellement culturelle. Si vous deviez essayer de décrire la culture d'une conception de l'organisation de la pensée, quelques-uns des mots qui serait susceptible d'apparaître pourrait inclure:
  • Centrée sur l'humain
  • Vitesse et l'agilité
  • Adaptable et flexible
  • Inspired
  • Perturbateur
  • Passionné
  • Déterminé
  • Créative et innovante
  • Connecté et plat
  • Fun et ludique
  • Engagé
  • Haute énergie
  • La prise de risque
Combien de grandes organisations ont des cultures qui sont comme ça? La réponse est très peu , ce qui explique pourquoi l'innovation est si difficile sans l'aide des autres, généralement plus petites, les organisations qui ne disposent de telles cultures. Critique de la conception respecté et éducateur Don Norman suggère que l'un des principaux problèmes liés à l'innovation est la capacité à gérer le souhaitable, faisable et économiquement viable. Bien qu'il se réfère à la conception des choses, le problème est également présent lors de la conception des systèmes, services ou même des cultures.
Conception pensée n'est pas une expérience; il autorise et nous encourage à expérimenter.
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Est la pensée de conception une science ou un art?

Nous n'associons généralement pas la conception de la science, mais de nombreuses théories de conception avons été inspirés par les disciplines scientifiques, notamment les sciences naturelles. Dans de tels cas, la conception est envisagée comme un objectif, procédure rationnelle qui s'appuie sur les mêmes normes rigoureuses de test et de vérification que les sciences. Ces théories se concentrent sur ​​le problème de l'encadrement et la résolution de problèmes.
Dans le monde de l'entreprise, les problèmes (point de départ) et les objectifs (point de fin) sont dit d'être comme un jeu d'échecs: les positions initiales des pièces sont clairement définis et le but, bien sûr, est de mater et gagner le match. Mais dans la conception, ce n'est pas le cas. Comme Donald Schön écrit dans «Le praticien réflexif», «Dans la pratique dans le monde réel, les problèmes ne se présentent pas aux praticiens comme les donnés. Ils doivent être construits à partir de matériaux de situations problématiques qui sont curieux, troublant et incertain ".
C'est pourquoi théoricien de la conception et éducateur Horst Rittel appelé les problèmes de conception "méchants" et a proposé que nous devons adopter une approche complètement différente, ce qu'il a appelé une deuxième génération de théories et de méthodes de conception. Il préconise que, si la première génération visait à faire la conception d'un processus purement rationnel, la deuxième génération reconnaît que la notion de rationalité implique paradoxes graves et que les distinctions entre systématique contre intuitive et rationnelle par rapport à la conception irrationnelle sont intenables.
Certains des principes de conception pensée provenaient de conception discipline mais ont été adaptés à appliquer dans un contexte d'affaires plus large et plus complexe. Le design thinking est populaire parmi les éducateurs et les entrepreneurs sociaux de l'innovation sociale, car elle se rapproche de la résolution de problèmes du point de vue de l'utilisateur final et appelle des solutions créatives en développant une compréhension profonde des besoins non satisfaits dans le contexte et les contraintes d'une situation particulière.  
Certains concepteurs sont ramasser les compétences en travaillant en étroite collaboration avec d'autres spécialistes du domaine dans le domaine de l'ingénierie, de l'économie et des sciences sociales. Il reste encore à trouver son chemin dans les écoles de commerce afin que la prochaine génération de gestionnaires peut être mieux équipée pour relever les défis de plus en plus complexes.
Langue qui sert à être associé avec des designers est maintenant entré dans d'autres domaines: Les administrateurs d'hôpitaux sont dit qu'ils devraient être plus centré sur le patient; les décideurs sont informés que les services publics doivent être plus centrée sur l'utilisateur, et les entreprises interagir avec les clients en offrant de nouvelles significations pour les objets. Conception pensée n'est pas quelque chose qui est enseignée et pratiquée dans un studio plus. Pour les cadres et les gestionnaires, il devient notre langage quotidien.
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Le Design Thinking Has Been trop simplifiée

L'association de la pensée de conception avec ou application d'entreprise est souvent bien trop simpliste. Il est plus que juste des Post-it couvrant un mur ou des moyens créatifs pour trouver des idées. Et il est plus que cinq, un processus en six ou sept étapes pour arriver à ces idées. Une telle simplification nous oblige dans des rôles prédéterminés, et à ces rôles sont les règles, les conventions, les comportements et les attentes formelles qui finira par limiter ce que nous pensons et faisons.
Il est important de reconnaître que la pensée de conception n'est pas exclusive aux concepteurs, ou inaccessible à ceux des autres disciplines. Le design thinking est naturelle et inhérente en chacun de nous. Il s'agit d'une approche à l'enquête et d'expression qui complète et renforce les compétences existantes, les comportements et techniques. Mais il est également essentiel de ne pas définir la discipline comme l'antithèse de la pensée analytique fondée sur les données. Le design thinking est son propre mode d'analyse - qui se concentre sur les formes, les relations, les comportements et les interactions et les émotions humaines réelles.
Ceux-ci peuvent inclure:
  1. Comment un produit, service, système ou entreprise vit actuellement dans un écosystème.
  2. Comment les gens interagissent avec ce qui précède et de la nature, la fréquence et les caractéristiques de cette interaction
  3. Comment les différents éléments de l'écosystème sont liés les uns aux autres et si un impact au niveau des systèmes existe.
  4. Quels sont les autres écosystèmes existent à côté de votre écosystème.
  5. Comment les nouvelles idées peut être obtenue en consultant largement à des événements de communication au sein de ces écosystèmes et comment ils s'organisent à partir d'un point de vue systémique.
  6. Qu'est-ce que les caractéristiques et les principales tendances du comportement de nouvelles relations sont vus à partir d'un niveau de systèmes.
  7. Qu'est-ce que les motifs de l'information les comportements des gens et la façon de les cartographier visuellement à leur donner un sens.
Extrait avec la permission de l'éditeur, Wiley, de  Design Penser pour l'innovation stratégique: ce qu'ils ne peuvent vous apprendre à entreprise ou école de design  par  Idris Mootee. Copyright (c) 2013 par Idris Mootee. Tous droits réservés. Ce livre est disponible à toutes les librairies et les librairies en ligne.
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